18. Juni 2011

Der Song zum Wochenende

El Matador feat Brasco - "Tapage Nocturne"

... à cause d'elle....! 




C’ est ma ville la nuit, on rêve de belles sommes,
Partout c’ est le même sort
Malgré tous ces défauts, c’ est ma zone
Tu seras le bienvenu chez moi
Dans ma ville, la nuit, la haine nous dévore
Mais ça nous rend plus fort
On tue l’ ennui dans le shit au sous sol
Pour oublier ce que nous sommes

Minuit passé, y’ a que des putes et plus de cendrillon
Investis sur l’ album, écoutes la délinquance
En échantillon
Y a des petits, des grands qui montent dans ce pays
Où la violence triomphe
Les règlements de compte
Au vingt – heures en disent long
C’ est pour nos secteurs, les environs
Dédié aux coupables innocents de taule,
A cause d ‘une balance qui se trompe
Ici ça trafique shit, coke, exta ou champignons
Parce que plus personne compte sur l’ Euromillion
Y a ce côté chaud et froid qui fait qu’ on se tue
A la vodka ou au Dillon
Demandes si c’ est la merde, mes khos te diront
De la maternité à la morgue,
Crois pas que le chemin soit aussi long
Mon son, les groupies l’ ont, au bec un gris pilon
C’ est pour les mecs de zone d’ ombre
Qui traînent en petit nombre
Ça part en couille car le manque de conscience,
La folie comble
J’ esquive l’ ambulance et le commico
Mon flow est au niveau ,
C’ est du processus verbal braco, mino.

Refrain

En direct des quartiers difficiles,
Paroles explicites
Chez nous, même les culs de jatte
Font des délits de fuite
Des mecs se font canner,
Et c’ est trop tard pour composer le dix – huit
Ici, y a que des princes de la récidive
Tout le monde regrette les années collège
Les collègues ont le choix entre l’ abonnement
De l’ O.M. et celui des Baumettes
Plus on avance et plus on se dit que l’ espoir est dead
C’ est pas parce que l’ accent est joli que l’ histoire est belle
Avant de vouloir soulever des montagnes
Je commence par savoir changer ma roue
Quand y’ a mon pneu qui crève sur un dos d’ âne
Un – trois, bitume matricule
Prises de sueur froide, les vieilles ont peur de moi comme
D’ une canicule
On squatte sous l’ abris – bus avec toute la tribu
C ‘est l’ étiquette des voitures qui brûlent, qu’ on nous attribue
Elle est moins belle la vie de la Côte – d’ Azur
Ne te fies pas aux cartes postales
L’ odeur de la pisse, nous on l’ assume

Refrain

Les bruits et les sirènes retentissent
Devant une belle, pour du sexe, les bandits s’ attendrissent
Ça vole, ça mendie. On traîne tard en ville.
Esquive les flics pour voir notre argent sale blanchi
Pendant qu’ en taule ça se branle et ça cantine
Représente les coins pas tranquilles
Sur la trajectoire de la balle que Satan tire
Passe la bouteille que je l’ enquille
Tout va bien, je me jetterai pas dans le vide
Ce soir, c’ est les hyènes face aux chiennes de Sarkozy
Tu veux sortir en boîte, en poche, y a pas un centime
Quand c’ est la merde, faut apprendre à pas la sentir
Comme l’ ont très bien dit certains,
Dehors ça glisse donc gare à ton fils
Ou sois garanti qu’ il atteindra pas trente piges
Ce flic apprenti flippe et s’ attend au pire
Ce voyou fait grise mine et n’ a pas le temps de fuir
Nombreuses sont les victimes, on va pas se mentir
Ne fais pas les fils si tu ne sais pas conduire.

17. Juni 2011

Manchmal. In der Nacht.

Manchmal, wenn man denkt, am Ziel seiner Träume angekommen zu sein, 
manchmal stellt man dann fest, dass genau dieses Ziel in weite Ferne rückt.
Sich so weit entfernt, dass es unerreichbar wird. Das Ziel wandelt sich am 
Horizont erst zu einem kleinen Punkt, dem man hinterher eilt. Immer mit
der Hoffnung und im Glauben, dass man ihn einholen wird. Nie aufgeben, heisst
das neue Ziel. Auf einmal ist dieser Punkt jedoch weg, verschwindet im Dunkel
der Nacht. In genau diesem Moment wird der helle Tag zur dunklen Nacht. Eine Nacht,
die nie mehr enden will. Ohne Ziel. Als wäre es nie da gewesen.
Nach Hilfe suchend reckt man die Hände in die Finsternis.
Aber es gibt keine Hilfe, ohne ein Ziel.
Die Nacht hat gesiegt.


16. Juni 2011

Nomen est Omen und viel mehr

Nicht wahr, mein alter Kumpel Rio?



Sieben Uhr aufstehen, Kaffee trinken,
zur Arbeit fahren, freundlich sein, den Chef grüßen,
nicht sagen, was ich denke, nicht denken, was ich sage.
Ich möchte am liebsten tot sein und von allem nichts mehr sehen.
Ich möchte am liebsten tot sein und von allem nichts mehr sehen.

Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?

Fünf Uhr, Feierabend, zum Bus rennen,
n'Abend Alter, n'Abend Alte, Abendessen,
in die nächste Kneipe gehen, Bier trinken.
Ich möchte so besoffen sein, daß ich alles nicht mehr seh.
Ich möchte so besoffen sein, daß ich alles nicht mehr seh.

Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?

Soll ich morgen abhauen und gehen, wohin ich will?
Soll ich die Papiere holen und machen, was ich will?
Soll ich mir'n Schuß machen und von allem nichts mehr sehen?
Ich möchte endlich frei sein, aber wohin soll ich gehen?

Lithium



I'm so happy 'cause today
I found my friends
They're in my head
I'm so ugly, that's okay
'Cause so are you
Broke our mirrors
Sunday morning is everyday
For all I care
And I'm not scared
Light my candles, in a daze
'Cause I've found God

Yeah yeah yeah yeah

I'm so lonely, that's ok
I shaved my head
And I'm not sad
And just maybe
I'm to blame for all I've heard
I'm not sure
I'm so excited
I can't wait to meet you there
And I don't care
I'm so horny, that's okay
My will is good

Yeah yeah yeah yeah

I like it I'm not gonna crack
I miss you I'm not gonna crack
I love you I'm not gonna crack
I killed you I'm not gonna crack

13. Juni 2011

Filmtipp: "Hachiko" (Schluchz!)

Wer heute Lust auf Film hat, dem kann ich eine wahre Geschichte aus Japan ans Herz legen. "Hachiko: A Dog's Tale"! Aber vorsicht, tonnenweise Nastücher bereit legen, denn wer bei dem Film keine Träne verdrückt, der hat kein Herz... Zur Story: Hachiko war ein Hund, er wurde am 10. November 1923 in Odate in der Präfektur Akita geboren. 1924 nahm ihn sein Besitzer, der Universitätsprofessor Hidesaburo Ueno, mit nach Tokio. Von da an holte der Hund jeden Tag sein Herrchen vom Bahnhof Shibuya ab. Auch dann noch, als sein Herrchen plötzlich nicht mehr kam. Der Mann verstarb, Hachiko wartete 10 Jahre lang am Bahnhof auf seinen menschlichen Freund - Tag für Tag. 1935 verstarb dann auch der vermutlich treuste Hund der Welt, an seinem Warteplätzchen steht seither ein Denkmal und die Bahnhofshalle wurde nach Hachiko benannt. Schluchz...