Aus der allseits beliebten Serie ""Wenn Liedertexte sowas von ins Schwarze treffen", heute Robert Peter Williams mit seinem traurigen Liedchen "Kein Bedauern". Schönen Tag allerseits, all denen die ihn geniessen können.
Tell me a story
Where we all change
And we'd live our lives together
And not estranged
I didn't lose my mind it was
Mine to give away
Couldn't stay to watch me cry
You didn't have the time
So I softly slip away...
No regrets they don't work
No regrets they only hurt
Sing me a love song
Drop me a line
Suppose it's just a point of view
But they tell me I'm doing fine
I know from the outside
(Some people said)
We looked good for eachother
Felt things were going wrong
When you didn't like my mother
I don't want to hate
But that's all you've left me with
A bitter aftertaste and a fantasy
Of how we all could live
No regrets they don't work
No regrets now, they only hurt
(We've been told you stay up late)
I know they're still talking
(You're far too short to carry weight)
The demons in your head
(Return the videos they're late)
If I could just stop hating you
(Goodbye)
I'd feel sorry for us instead
Remember the photographs insane
The ones where we all laugh so lame
We were having the time of our lives
Well thank you, it was a real blast
No regrets, they don't work
No regrets, they only hurt
(We've been told you stay up late)
Write me a love song
(You're far too short to carry weight)
Drop me a line
(Return the videos they're late)
Suppose it's just a point of view
(Goodbye)
But they tell me I'm doing fine
Everything I wanted to be
Everytime I walked away
Everytime you told me to leave
I just wanted to stay
Everytime you looked at me
And everytime you smiled
I felt so vacant you treat me like a child
I loved the way we used to laugh
I loved the way we used to smile
Often I sit down and think of you for a while
And then it passes me by
And I think of someone else instead
I guess the love we once had
Is officially
Dead!
20. Juni 2011
19. Juni 2011
Zitate des Tages
"Viele Menschen versäumen das kleine Glück,
während sie auf das grosse Glück vergebens warten."
PS: Jennifer Lopez kennt weder Status Quo, noch weiss sie was Formel 1 ist - dafür zeigt sie ihren Busen? Gute Nacht gelobtes Abendland. Ansonsten fand ich die letzte "Wetten dass..."-Sendung aus Mallotze ja eher dürftig unterhaltsam. Fazit: Sebastian Vettel war spontan und total witzig (Zu Bohlen mit einer Badekappe in der Hand: "Wenn du schon fünf Kinder hast wirds langsam Zeit, dass du lernst wie man mit so einem Ding umgeht"). Gottschalk und Michelle Hunziker zeigten sich in bester Gastgeberlaune. Dieter Bohlen ist auf dem Sofa beinahe erfroren. Cameron Diaz (Hotpants) und Heidi Klum (Catsuite) überzeugten mit guter Figur. Die Musikauswahl (JLo, zwei DSDS-Bubis aus Deutschland und drei aus Italien, Status Quo) war, mit Ausnahme der Rocky Horror Picture Show, mies. Die witzigste Wette - der Philippino der Kokosnüsse aufbeissen konnte - hat leider nicht gewonnen. Cindy aus Marzahn war auch da. Frank Elstner ist ein netter Herr, aber kein Moderator mehr. Kevin James? Nie gehört. Das Schwimmflossen-Rennen zum Schlusss fand ich herrlich chaotisch. In Sachen Gottschalk-Nachfolge gabs keine News und ich wette, das letzte Wort ist in dieser Geschichte auch noch nicht gesprochen. Denn gerade weil der Rücktritt in aller Munde war, wurden gestern vor Ort scheinbar bis zu 1000 Euro für einen Eintrittskarte geboten und die Quoten dürften auch sehr gut gewesen sein. Schlechtes Wetter draussen und keine Alternativen in der Glotze.
PPS: Nein, das erste Zitat bezieht sich definitiv nicht auf "Wetten dass...".
PPS: Nein, das erste Zitat bezieht sich definitiv nicht auf "Wetten dass...".
18. Juni 2011
Der Song zum Wochenende
El Matador feat Brasco - "Tapage Nocturne"
... à cause d'elle....!
C’ est ma ville la nuit, on rêve de belles sommes,
Partout c’ est le même sort
Malgré tous ces défauts, c’ est ma zone
Tu seras le bienvenu chez moi
Dans ma ville, la nuit, la haine nous dévore
Mais ça nous rend plus fort
On tue l’ ennui dans le shit au sous sol
Pour oublier ce que nous sommes
Minuit passé, y’ a que des putes et plus de cendrillon
Investis sur l’ album, écoutes la délinquance
En échantillon
Y a des petits, des grands qui montent dans ce pays
Où la violence triomphe
Les règlements de compte
Au vingt – heures en disent long
C’ est pour nos secteurs, les environs
Dédié aux coupables innocents de taule,
A cause d ‘une balance qui se trompe
Ici ça trafique shit, coke, exta ou champignons
Parce que plus personne compte sur l’ Euromillion
Y a ce côté chaud et froid qui fait qu’ on se tue
A la vodka ou au Dillon
Demandes si c’ est la merde, mes khos te diront
De la maternité à la morgue,
Crois pas que le chemin soit aussi long
Mon son, les groupies l’ ont, au bec un gris pilon
C’ est pour les mecs de zone d’ ombre
Qui traînent en petit nombre
Ça part en couille car le manque de conscience,
La folie comble
J’ esquive l’ ambulance et le commico
Mon flow est au niveau ,
C’ est du processus verbal braco, mino.
Refrain
En direct des quartiers difficiles,
Paroles explicites
Chez nous, même les culs de jatte
Font des délits de fuite
Des mecs se font canner,
Et c’ est trop tard pour composer le dix – huit
Ici, y a que des princes de la récidive
Tout le monde regrette les années collège
Les collègues ont le choix entre l’ abonnement
De l’ O.M. et celui des Baumettes
Plus on avance et plus on se dit que l’ espoir est dead
C’ est pas parce que l’ accent est joli que l’ histoire est belle
Avant de vouloir soulever des montagnes
Je commence par savoir changer ma roue
Quand y’ a mon pneu qui crève sur un dos d’ âne
Un – trois, bitume matricule
Prises de sueur froide, les vieilles ont peur de moi comme
D’ une canicule
On squatte sous l’ abris – bus avec toute la tribu
C ‘est l’ étiquette des voitures qui brûlent, qu’ on nous attribue
Elle est moins belle la vie de la Côte – d’ Azur
Ne te fies pas aux cartes postales
L’ odeur de la pisse, nous on l’ assume
Refrain
Les bruits et les sirènes retentissent
Devant une belle, pour du sexe, les bandits s’ attendrissent
Ça vole, ça mendie. On traîne tard en ville.
Esquive les flics pour voir notre argent sale blanchi
Pendant qu’ en taule ça se branle et ça cantine
Représente les coins pas tranquilles
Sur la trajectoire de la balle que Satan tire
Passe la bouteille que je l’ enquille
Tout va bien, je me jetterai pas dans le vide
Ce soir, c’ est les hyènes face aux chiennes de Sarkozy
Tu veux sortir en boîte, en poche, y a pas un centime
Quand c’ est la merde, faut apprendre à pas la sentir
Comme l’ ont très bien dit certains,
Dehors ça glisse donc gare à ton fils
Ou sois garanti qu’ il atteindra pas trente piges
Ce flic apprenti flippe et s’ attend au pire
Ce voyou fait grise mine et n’ a pas le temps de fuir
Nombreuses sont les victimes, on va pas se mentir
Ne fais pas les fils si tu ne sais pas conduire.
... à cause d'elle....!
C’ est ma ville la nuit, on rêve de belles sommes,
Partout c’ est le même sort
Malgré tous ces défauts, c’ est ma zone
Tu seras le bienvenu chez moi
Dans ma ville, la nuit, la haine nous dévore
Mais ça nous rend plus fort
On tue l’ ennui dans le shit au sous sol
Pour oublier ce que nous sommes
Minuit passé, y’ a que des putes et plus de cendrillon
Investis sur l’ album, écoutes la délinquance
En échantillon
Y a des petits, des grands qui montent dans ce pays
Où la violence triomphe
Les règlements de compte
Au vingt – heures en disent long
C’ est pour nos secteurs, les environs
Dédié aux coupables innocents de taule,
A cause d ‘une balance qui se trompe
Ici ça trafique shit, coke, exta ou champignons
Parce que plus personne compte sur l’ Euromillion
Y a ce côté chaud et froid qui fait qu’ on se tue
A la vodka ou au Dillon
Demandes si c’ est la merde, mes khos te diront
De la maternité à la morgue,
Crois pas que le chemin soit aussi long
Mon son, les groupies l’ ont, au bec un gris pilon
C’ est pour les mecs de zone d’ ombre
Qui traînent en petit nombre
Ça part en couille car le manque de conscience,
La folie comble
J’ esquive l’ ambulance et le commico
Mon flow est au niveau ,
C’ est du processus verbal braco, mino.
Refrain
En direct des quartiers difficiles,
Paroles explicites
Chez nous, même les culs de jatte
Font des délits de fuite
Des mecs se font canner,
Et c’ est trop tard pour composer le dix – huit
Ici, y a que des princes de la récidive
Tout le monde regrette les années collège
Les collègues ont le choix entre l’ abonnement
De l’ O.M. et celui des Baumettes
Plus on avance et plus on se dit que l’ espoir est dead
C’ est pas parce que l’ accent est joli que l’ histoire est belle
Avant de vouloir soulever des montagnes
Je commence par savoir changer ma roue
Quand y’ a mon pneu qui crève sur un dos d’ âne
Un – trois, bitume matricule
Prises de sueur froide, les vieilles ont peur de moi comme
D’ une canicule
On squatte sous l’ abris – bus avec toute la tribu
C ‘est l’ étiquette des voitures qui brûlent, qu’ on nous attribue
Elle est moins belle la vie de la Côte – d’ Azur
Ne te fies pas aux cartes postales
L’ odeur de la pisse, nous on l’ assume
Refrain
Les bruits et les sirènes retentissent
Devant une belle, pour du sexe, les bandits s’ attendrissent
Ça vole, ça mendie. On traîne tard en ville.
Esquive les flics pour voir notre argent sale blanchi
Pendant qu’ en taule ça se branle et ça cantine
Représente les coins pas tranquilles
Sur la trajectoire de la balle que Satan tire
Passe la bouteille que je l’ enquille
Tout va bien, je me jetterai pas dans le vide
Ce soir, c’ est les hyènes face aux chiennes de Sarkozy
Tu veux sortir en boîte, en poche, y a pas un centime
Quand c’ est la merde, faut apprendre à pas la sentir
Comme l’ ont très bien dit certains,
Dehors ça glisse donc gare à ton fils
Ou sois garanti qu’ il atteindra pas trente piges
Ce flic apprenti flippe et s’ attend au pire
Ce voyou fait grise mine et n’ a pas le temps de fuir
Nombreuses sont les victimes, on va pas se mentir
Ne fais pas les fils si tu ne sais pas conduire.
17. Juni 2011
Manchmal. In der Nacht.
Manchmal, wenn man denkt, am Ziel seiner Träume angekommen zu sein,
manchmal stellt man dann fest, dass genau dieses Ziel in weite Ferne rückt.
Sich so weit entfernt, dass es unerreichbar wird. Das Ziel wandelt sich am
Horizont erst zu einem kleinen Punkt, dem man hinterher eilt. Immer mit
der Hoffnung und im Glauben, dass man ihn einholen wird. Nie aufgeben, heisst
das neue Ziel. Auf einmal ist dieser Punkt jedoch weg, verschwindet im Dunkel
der Nacht. In genau diesem Moment wird der helle Tag zur dunklen Nacht. Eine Nacht,
die nie mehr enden will. Ohne Ziel. Als wäre es nie da gewesen.
Nach Hilfe suchend reckt man die Hände in die Finsternis.
Aber es gibt keine Hilfe, ohne ein Ziel.
Die Nacht hat gesiegt.
16. Juni 2011
Nomen est Omen und viel mehr
Nicht wahr, mein alter Kumpel Rio?
Sieben Uhr aufstehen, Kaffee trinken,
zur Arbeit fahren, freundlich sein, den Chef grüßen,
nicht sagen, was ich denke, nicht denken, was ich sage.
Ich möchte am liebsten tot sein und von allem nichts mehr sehen.
Ich möchte am liebsten tot sein und von allem nichts mehr sehen.
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Fünf Uhr, Feierabend, zum Bus rennen,
n'Abend Alter, n'Abend Alte, Abendessen,
in die nächste Kneipe gehen, Bier trinken.
Ich möchte so besoffen sein, daß ich alles nicht mehr seh.
Ich möchte so besoffen sein, daß ich alles nicht mehr seh.
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Soll ich morgen abhauen und gehen, wohin ich will?
Soll ich die Papiere holen und machen, was ich will?
Soll ich mir'n Schuß machen und von allem nichts mehr sehen?
Ich möchte endlich frei sein, aber wohin soll ich gehen?
Sieben Uhr aufstehen, Kaffee trinken,
zur Arbeit fahren, freundlich sein, den Chef grüßen,
nicht sagen, was ich denke, nicht denken, was ich sage.
Ich möchte am liebsten tot sein und von allem nichts mehr sehen.
Ich möchte am liebsten tot sein und von allem nichts mehr sehen.
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Fünf Uhr, Feierabend, zum Bus rennen,
n'Abend Alter, n'Abend Alte, Abendessen,
in die nächste Kneipe gehen, Bier trinken.
Ich möchte so besoffen sein, daß ich alles nicht mehr seh.
Ich möchte so besoffen sein, daß ich alles nicht mehr seh.
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Warum geht es mir so dreckig, was kann ich allein dagegen tun?
Soll ich morgen abhauen und gehen, wohin ich will?
Soll ich die Papiere holen und machen, was ich will?
Soll ich mir'n Schuß machen und von allem nichts mehr sehen?
Ich möchte endlich frei sein, aber wohin soll ich gehen?
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